Dernier jour à Lisbonne. Il pleut et cette fois pas d’éclaircie prévue ! On met les parkas, on prend les parapluies et les transports en commun. D’abord 40 minutes de métro, puis il nous fait prendre le bus. A côté de l’arrêt de bus on peut mesurer la taille de ces grands bateaux de croisière !
On trouve la ligne de bus, on monte dans le bus et on roule, et on s’éloigne de notre objectif. Un passager, surement habitué à voir des touristes perdus dans ce coin nous signale qu’il faut descendre et repartir dans l’autre sens. Ok, mais à l’arrêt de bus le descriptif de la ligne ne comprend pas l’arrêt auquel nous devons descendre. Tant pis on verra bien. Heureusement que les GPS de téléphone sont là. Ainsi on suit notre itinéraire et on trouve une station près de notre objectif : le musée des azulejos. Ouf, on y est ! Magnifique musée qui valait bien le détour.
En revenant le trajet est plus simple. Mais avec tout ça il est l’heure de déjeuner. On entre encore dans un tout petit restaurant traditionnel. On commence par un porto, car venir au portugal sans boire de porto serait sacrilège. Puis sardines grillées. Un dessert, un café et ça repart. On va au Panthéon national qui occupe l’église Santa Engracia. On y retrouve notre ami Vasco enfin plutôt son cénotaphe. Au sommet de 180 marches une vaste terrasse nous offre un autre point de vue sur le port et sur les bateaux mastodontes. Le temps est de plus en plus bouché
En revenant vers le métro, nous passons devant le musée militaire, qui lui aussi a droit à son décor d’azulejos.
Il est 16 h, l’heure de nous diriger vers l’aéroport. Nous devons décoller à 18h40 mais sans aucune explication nous ne décollons qu’à 21h45 avec donc 3h de retard, en considérant le temps de récupérer les bagages, de revenir de Nantes en passant par Bressuire et Parthenay pour déposer quelques personnes et il est 4 h du matin. On va se coucher !